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Les nouveaux visages de la Faculté
Daniele Wagner, architecte, a rejoint la Faculté comme nouveau membre statutaire en géométrie descriptive en ce début d'année 20-21.
Qui es-tu Daniele Wagner ?
Jeune architecte passionné de dessin depuis l’enfance, je suis ravi d’intégrer la grande équipe de l’ULB. De mère italienne et de père allemand, après plusieurs expériences de vie à l’étranger, c’est finalement à Bruxelles – centre névralgique de l’Europe dont le projet m’est si cher – que j’ai posé mes valises. Curieux et travailleur, j’enseigne à présent la géométrie descriptive aux BAC1 et les assiste aux cours de dessin général.
Peux-tu nous éclairer sur ce qu’est un cours de géométrie descriptive en architecture ?
Pour pouvoir communiquer les espaces, volumes et objets tridimensionnels qu’il imagine, un concepteur au sens large a besoin de formaliser son projet à travers des méthodes de représentation objectives qu’il dessinera en deux dimensions. La géométrie descriptive permet de restituer cet imaginaire à travers différentes projections axonométriques, perspectives et orthogonales, d’en extraire des données métriques et de finalement communiquer le projet pensé.
En dehors de l’enseignement, peux-tu en dire plus sur ta pratique d’architecte ?
L’atelier se concentre principalement sur des rénovations et quelques nouvelles constructions privées. Dans les contraintes liées à la pratique, il s’agit d’abord d’être à l’écoute du maître d’ouvrage, d’entrer dans son monde pour traduire au mieux sa volonté d’habiter ses espaces. Je le questionne puis je tisse à partir des éléments tous azimuts qu’il me donne et de mon propre bagage architectural. La richesse et la satisfaction du métier viennent de la diversité des univers des maîtres d’ouvrage et des solutions tout aussi variées que je tente de leur apporter.
Qui es-tu Daniele Wagner ?
Jeune architecte passionné de dessin depuis l’enfance, je suis ravi d’intégrer la grande équipe de l’ULB. De mère italienne et de père allemand, après plusieurs expériences de vie à l’étranger, c’est finalement à Bruxelles – centre névralgique de l’Europe dont le projet m’est si cher – que j’ai posé mes valises. Curieux et travailleur, j’enseigne à présent la géométrie descriptive aux BAC1 et les assiste aux cours de dessin général.
Peux-tu nous éclairer sur ce qu’est un cours de géométrie descriptive en architecture ?
Pour pouvoir communiquer les espaces, volumes et objets tridimensionnels qu’il imagine, un concepteur au sens large a besoin de formaliser son projet à travers des méthodes de représentation objectives qu’il dessinera en deux dimensions. La géométrie descriptive permet de restituer cet imaginaire à travers différentes projections axonométriques, perspectives et orthogonales, d’en extraire des données métriques et de finalement communiquer le projet pensé.
En dehors de l’enseignement, peux-tu en dire plus sur ta pratique d’architecte ?
L’atelier se concentre principalement sur des rénovations et quelques nouvelles constructions privées. Dans les contraintes liées à la pratique, il s’agit d’abord d’être à l’écoute du maître d’ouvrage, d’entrer dans son monde pour traduire au mieux sa volonté d’habiter ses espaces. Je le questionne puis je tisse à partir des éléments tous azimuts qu’il me donne et de mon propre bagage architectural. La richesse et la satisfaction du métier viennent de la diversité des univers des maîtres d’ouvrage et des solutions tout aussi variées que je tente de leur apporter.