Comme de nombreuses professions, celle d’architecte tend à se diversifier et à se spécialiser. Par ailleurs, grâce à la flexibilité et à l’ouverture de la formation, de nombreux anciens étudiants en architecture n’exercent pas le métier d’architecte selon le modèle dominant de l’exercice libéral de la profession en bureau d’architecture. Certains se spécialisent en urbanisme, en imagerie numérique, en création d’événements, alors que d’autres choisissent les métiers de la fonction publique, etc.

L’architecte « classique » lui aussi se diversifie tant par la nature, l’échelle, le type de projet qu’il peut être amené à traiter.
La formation en architecture est structurée autour d’une tension entre la nécessité de maintenir une formation commune et de faire droit à une exigence de pluralisme liée aux multiples façons d’être architecte aujourd’hui. La Faculté a tenu à répondre à cette attente par une diversification des modules d’options et des ateliers, avec un choix d’orientations répondant aux aspirations personnelles des étudiants dès la fin du cycle de Bachelier, et intégrant l’idée que tous les enseignements offerts par la Faculté même s’ils doivent (nécessairement/légalement) aboutir à la délivrance du diplôme d’architecte permettent une exploration des champs variés de l’architecture.

A cette fin de nombreux modules d’options (près de 14) de 10 ECTS vous sont proposés : urbanisme, développement, histoire/théorie/critique, art, FabLab, Design Process, patrimoine, archives,…

Les options sont présentées aux étudiants avant chaque début d’année académique. Les étudiants ont libre choix de leurs options pour un total de 30 ECTS.